Je ne sais si vous avez remarquer mais il y rien de nouveau sur ce blog depuis pas mal de temps, normal je n'écris plus.
mais je vous invite a venir maintenant ici
salut les gens !!!
anneau2fer
Dans la bataille de l'homme et du monde; ce n'est pas le monde qui commence...(Gaston Bachelard)
anneau2fer
Dans la bataille de l'homme et du monde; ce n'est pas le monde qui commence...(Gaston Bachelard)
Samedi 19 juin 2010 à 21:20
Dimanche 5 juillet 2009 à 23:05
Sur les ruines des dieux,
L'enfant danse,
Dans les décombres immortels,
L'enfant danse,
Seul avec ses semblables,
L'enfant danse,
Dans les délices de la mort inutile
L'enfant danse,
A la Vodka, à la mort, à la vie,
L'enfant danse,
A la bière, au shit, à la vie,
L'enfant danse,
Sous la lune, fantôme réel,
Vole l'hirondelle,
L'esprit perdu, l'enfant danse,
A la vie, prend le contresens,
Et sans jamais penser demain,
Demain qu'il n'auront jamais, les enfants dansent, main dans la main.
L'enfant danse,
Dans les décombres immortels,
L'enfant danse,
Seul avec ses semblables,
L'enfant danse,
Dans les délices de la mort inutile
L'enfant danse,
A la Vodka, à la mort, à la vie,
L'enfant danse,
A la bière, au shit, à la vie,
L'enfant danse,
Sous la lune, fantôme réel,
Vole l'hirondelle,
L'esprit perdu, l'enfant danse,
A la vie, prend le contresens,
Et sans jamais penser demain,
Demain qu'il n'auront jamais, les enfants dansent, main dans la main.
Jeudi 18 juin 2009 à 11:25
Plonger dans l'océan,
Et en ressortir,
Sans même avoir bu la tasse.
Sans complètement,
Avoir gouté l'exquis,
D'embrasser l'audace.
Dans l'eau tumultueuse,
De tes sentiments d'amoureuse,
Tout en se retenant,
De toute pensée d'amant,
N'avoir à garder,
Que l'incroyable souvenir,
D'une nuit sous un ciel étoilé,
Une nuit unique et parfaite que l'on aurait voulu ne jamais finir...
____________________________________________________________________________
Le Roc d'Enfer
Et en ressortir,
Sans même avoir bu la tasse.
Sans complètement,
Avoir gouté l'exquis,
D'embrasser l'audace.
Dans l'eau tumultueuse,
De tes sentiments d'amoureuse,
Tout en se retenant,
De toute pensée d'amant,
N'avoir à garder,
Que l'incroyable souvenir,
D'une nuit sous un ciel étoilé,
Une nuit unique et parfaite que l'on aurait voulu ne jamais finir...
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Le Roc d'EnferJeudi 18 juin 2009 à 11:10
Loin de leur imperfection apparente,
Loin de leur folie indécente,
Le cœur en éclat,
Leurs esprits loin de là.
Sous les ciels immenses,
Le soleil siège en silence.
Nuages égarés, comme voiles déchirés,
S'étalaient dans leur étrangeté.
Naviguer dans le vent,
Se glisser dans l'étroitesse vérité de la vie,
Sentir près de soit l'amant,
Et profiter de l'ultime et intime pluie.
Pourquoi une telle haine,
Incompréhension latente.
Juste vivre dans d'éden,
Dans une parodie d'entente.
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Loin de leur folie indécente,
Le cœur en éclat,
Leurs esprits loin de là.
Sous les ciels immenses,
Le soleil siège en silence.
Nuages égarés, comme voiles déchirés,
S'étalaient dans leur étrangeté.
Naviguer dans le vent,
Se glisser dans l'étroitesse vérité de la vie,
Sentir près de soit l'amant,
Et profiter de l'ultime et intime pluie.
Pourquoi une telle haine,
Incompréhension latente.
Juste vivre dans d'éden,
Dans une parodie d'entente.
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Jeudi 18 juin 2009 à 10:53
Je l'ai vu.
Je ne la connais pas.
Je ne lui ai pas parler non plus.
Son visage respirait l'Harmonie,
Ce visage si fin qu'il parait infini.
L'unique se cache parfois dans le plus anodin,
Et la beauté dans la plus grande simplicité.
Son visage était le fruit d'un délicieux échange,
Une place ou le tout n'est qu'échange.
Des mèches de ces cheveux, langues de feu incandescentes,
Descendaient caresser la peau blanche éclatante.
Dans laquelle se dresse deux puits de ciel incroyable...
Et puis retourner se morfondre dans le sable......
Je ne la connais pas.
Je ne lui ai pas parler non plus.
Son visage respirait l'Harmonie,
Ce visage si fin qu'il parait infini.
L'unique se cache parfois dans le plus anodin,
Et la beauté dans la plus grande simplicité.
Son visage était le fruit d'un délicieux échange,
Une place ou le tout n'est qu'échange.
Des mèches de ces cheveux, langues de feu incandescentes,
Descendaient caresser la peau blanche éclatante.
Dans laquelle se dresse deux puits de ciel incroyable...
Et puis retourner se morfondre dans le sable......
Mercredi 8 avril 2009 à 19:19
J'ai croisé un ange perdu dans un escalier...
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Un autre pleurait des larmes muette dans une salle obscure,
Et les cachaient aux autres de peur de les perdre,
Mystérieuse et énigmatique.
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Et je marche seul, les yeux dans mes pensées,
imaginant demain que dis je, rêvant demain.
Il ne reste plus qu'a cauchemarder...
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Un autre pleurait des larmes muette dans une salle obscure,
Et les cachaient aux autres de peur de les perdre,
Mystérieuse et énigmatique.
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Et je marche seul, les yeux dans mes pensées,
imaginant demain que dis je, rêvant demain.
Il ne reste plus qu'a cauchemarder...
Mardi 31 mars 2009 à 19:09
Mardi 31 mars 2009 à 19:05
Une visite d'elle,
Un rêve, une pensée frêle,
Une langoureuse muse,
Qui avec moi s'amuse,
Dansant dans un rayon de lune,
Faisant virevolter la dune,
Me laissant me réveiller,
dans la fraîcheur de son baiser,
Moi, seul avec mes éclats de plumes,
Et mon coeur, lentement se consume.
Un rêve, une pensée frêle,
Une langoureuse muse,
Qui avec moi s'amuse,
Dansant dans un rayon de lune,
Faisant virevolter la dune,
Me laissant me réveiller,
dans la fraîcheur de son baiser,
Moi, seul avec mes éclats de plumes,
Et mon coeur, lentement se consume.
Mardi 17 mars 2009 à 22:19
Alors la douleur s'empara de moi,
Amer bataille, par un corps meurtri, luttant depuis des mois.
La douleur lançait, au plus profond de mon être,
M'étouffant, à chaque instant, corps traitre...
Percevrais-je, rien qu'un instant, le rouge profond de mon sang coulé,
Est-ce cela, déjà, le goût, dans ma bouche assoiffée,
Le goût amer, comme une orange, comme l'an passé...
Souvenirs, plus douloureux encore que la douleur, souvenir d'une vie éxistée...
Douleur, encore douleur, me tire du sursis du sommeil,
Un rayon de soleil perce à travers les rideaux sombres, soleil,
C'est étrange d'oublier et de sentir si cher
A son cœur, ce que l'on considérait comme acquis, un peu d'air...
Douleur, toujours, chevillée au corps, abandon,
Rage de l'impuissance, face à elle, démission
Mal intérieur, couteau aiguisé au dedans,
Sombre et pervers, remuant...
Et puis la vie m'a laissé un sursis,
Curieux effet que se sentir mort et de retrouver la vie,
Comme une bonne amie que la présence enchante,
Profite, me dis-je, de ce renouveau d'âme vivante....
Amer bataille, par un corps meurtri, luttant depuis des mois.
La douleur lançait, au plus profond de mon être,
M'étouffant, à chaque instant, corps traitre...
Percevrais-je, rien qu'un instant, le rouge profond de mon sang coulé,
Est-ce cela, déjà, le goût, dans ma bouche assoiffée,
Le goût amer, comme une orange, comme l'an passé...
Souvenirs, plus douloureux encore que la douleur, souvenir d'une vie éxistée...
Douleur, encore douleur, me tire du sursis du sommeil,
Un rayon de soleil perce à travers les rideaux sombres, soleil,
C'est étrange d'oublier et de sentir si cher
A son cœur, ce que l'on considérait comme acquis, un peu d'air...
Douleur, toujours, chevillée au corps, abandon,
Rage de l'impuissance, face à elle, démission
Mal intérieur, couteau aiguisé au dedans,
Sombre et pervers, remuant...
Et puis la vie m'a laissé un sursis,
Curieux effet que se sentir mort et de retrouver la vie,
Comme une bonne amie que la présence enchante,
Profite, me dis-je, de ce renouveau d'âme vivante....
Vendredi 27 février 2009 à 23:40
http://www.laquadrature.net/fr/APPEL-HADOPI-blackout-du-net-francais
Pour éviter une loi injuste, inadaptée
pour tout ceux qui aiment le net tel qu'ils le connaissent,
merci à celui-qui-va-sauver-le -monde
Pour éviter une loi injuste, inadaptée
pour tout ceux qui aiment le net tel qu'ils le connaissent,
merci à celui-qui-va-sauver-le -monde
Mercredi 25 février 2009 à 21:59
Aimer à la folie sans être aimer, est comparable à vouloir se tuer sans vivre...
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La beauté, on la trouve de partout, mais la ou on la trouve le plus, c'est dans le plus petit... ou le plus grand...
Image prise au microscope électronique à balayage...
Nébuleuse de l'Aigle...
____________________________________________________________________________________________________
La Vie, c'est un grands bazar plein de petites choses rangées dedans... ou l'inverse...
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La beauté, on la trouve de partout, mais la ou on la trouve le plus, c'est dans le plus petit... ou le plus grand...
Image prise au microscope électronique à balayage...
Nébuleuse de l'Aigle...
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La Vie, c'est un grands bazar plein de petites choses rangées dedans... ou l'inverse...
Samedi 31 janvier 2009 à 22:21
La Vie est une résonance
Qui trouve écho en toutes choses.
Un fracas de bruit immenses,
De l'univers à la fraiche rose.
La Mort n'est qu'une explosion,
Illuminant le monde instantanément
Cascade infinie, le temps en fractions
Où s'engouffre l'écho irrémédiablement.
Le Néant n'existe pas,
L'homme a toujours représenté le rien,
La vie, la mort, et l'éphémère seront toujours l'éternité.
L'amour toujours remplira,
L'univers réel et irréel, de nos rêves a nos pensées,
Jusqu'a la réalité...
Qui trouve écho en toutes choses.
Un fracas de bruit immenses,
De l'univers à la fraiche rose.
La Mort n'est qu'une explosion,
Illuminant le monde instantanément
Cascade infinie, le temps en fractions
Où s'engouffre l'écho irrémédiablement.
Le Néant n'existe pas,
L'homme a toujours représenté le rien,
La vie, la mort, et l'éphémère seront toujours l'éternité.
L'amour toujours remplira,
L'univers réel et irréel, de nos rêves a nos pensées,
Jusqu'a la réalité...
Jeudi 29 janvier 2009 à 22:01
Comment expliquer
Cette envie d'éternité
Qui naît en moi,
Une éternité avec toi.
Glisser le long de ton visage,
Tomber dans le puit sans fond de ton visage,
Me noyer dans la mer de tes cheveux,
Et sans jamais tourner de pages.
Créer le monde dans le creux de nos mains serrées,
Chevaucher le long des tes jambes parfaites,
Et recréer le monde dans ton ventre adoré,
Sentir ta tête reposer sur mon épaule.
Vivre sur la colline naissante de tes seins.
Te préserver, cadeau inespéré,
Dans mes bras, mes mains.
T'aimer...
Cette envie d'éternité
Qui naît en moi,
Une éternité avec toi.
Glisser le long de ton visage,
Tomber dans le puit sans fond de ton visage,
Me noyer dans la mer de tes cheveux,
Et sans jamais tourner de pages.
Créer le monde dans le creux de nos mains serrées,
Chevaucher le long des tes jambes parfaites,
Et recréer le monde dans ton ventre adoré,
Sentir ta tête reposer sur mon épaule.
Vivre sur la colline naissante de tes seins.
Te préserver, cadeau inespéré,
Dans mes bras, mes mains.
T'aimer...
Samedi 24 janvier 2009 à 22:16
je vous laisse le plaisir de traduire !!! ^^
Mardi 30 décembre 2008 à 18:25
Ecrire c'est une façon de parler sans être interrompu.
Jules Renard
L'avenir c'est du passer en préparation.
Pierre Dac
Ce qui est incompréhensible c'est que le monde soit compréhensible.
Albert Einstein
Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple.
Jacques Prévert
Non seulement dieu n'existe pas, mais essayez donc d'avoir un plombier le dimanche.
Woodie Allen
Il ne faut pas confondre les pessimistes et les déçus. les déçus, eux, ont des preuves.
Jacques Dutronc
Il n'y as pas de hasard, il n'y a que des rendez vous.
Paul Eluard
La différence entre le sexe et la mort, c'est qu'on peut mourir, vous pouvez le faire seul, personne ne se moquera de vous.
Woody Allen
L'argent aide a supporter la pauvreté.
Alphonse Allais
L'avantage d'être intelligent, c'est que on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est impossible.
Woody Allen
Si on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce en serait la salle d'attente.
Jules Renard
Ne fais jamais rien a l'encontre de ta conscience, même si l'état te le demande.
Albert Einstein
Trop souffrir rend aigre, pas assez niais.
Félix Leclerc
Il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjuger.
Albert Einstein
L'imaginaire et le réel sont deux lieux de vie.
Jacques Lacan
Rien de sert de penser, il faut réfléchir avant.
Pierre Dac
Si haut que l'on soit placer, on n'ai jamais assis que sur son cul.
Michel de Montaigne
L'homme exploite l'homme, parfois c'est le contraire.
Woody Allen
Il ne faut pas désespérer des imbéciles. avec un peu d'entrainement, on peut en faire des militaires.
Pierre Desproges.
Qui pisse loin ménage ses chaussures.
Proverbe Chinois
Ne méprisez la sensibilité de personne.
La sensibilité de chacun c'est son génie.
Charles Baudelaire
Jules Renard
L'avenir c'est du passer en préparation.
Pierre Dac
Ce qui est incompréhensible c'est que le monde soit compréhensible.
Albert Einstein
Il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple.
Jacques Prévert
Non seulement dieu n'existe pas, mais essayez donc d'avoir un plombier le dimanche.
Woodie Allen
Il ne faut pas confondre les pessimistes et les déçus. les déçus, eux, ont des preuves.
Jacques Dutronc
Il n'y as pas de hasard, il n'y a que des rendez vous.
Paul Eluard
La différence entre le sexe et la mort, c'est qu'on peut mourir, vous pouvez le faire seul, personne ne se moquera de vous.
Woody Allen
L'argent aide a supporter la pauvreté.
Alphonse Allais
L'avantage d'être intelligent, c'est que on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est impossible.
Woody Allen
Si on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce en serait la salle d'attente.
Jules Renard
Ne fais jamais rien a l'encontre de ta conscience, même si l'état te le demande.
Albert Einstein
Trop souffrir rend aigre, pas assez niais.
Félix Leclerc
Il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjuger.
Albert Einstein
L'imaginaire et le réel sont deux lieux de vie.
Jacques Lacan
Rien de sert de penser, il faut réfléchir avant.
Pierre Dac
Si haut que l'on soit placer, on n'ai jamais assis que sur son cul.
Michel de Montaigne
L'homme exploite l'homme, parfois c'est le contraire.
Woody Allen
Il ne faut pas désespérer des imbéciles. avec un peu d'entrainement, on peut en faire des militaires.
Pierre Desproges.
Qui pisse loin ménage ses chaussures.
Proverbe Chinois
Ne méprisez la sensibilité de personne.
La sensibilité de chacun c'est son génie.
Charles Baudelaire
Lundi 29 décembre 2008 à 14:53
On est jamais aussi seul qu'au milieu d'une foule que l'on ne comprends pas...
Lundi 29 décembre 2008 à 14:50
Je rêve éveillé, tout le Temps,
Des situations impossibles,
Beautés inaccessibles,
Irréalités sensibles,
L'imagination qui me transporte,
Dans des situations espérées, ou inespérées,
Jamais qu'irréelles
et irréalisables...
Des situations impossibles,
Beautés inaccessibles,
Irréalités sensibles,
L'imagination qui me transporte,
Dans des situations espérées, ou inespérées,
Jamais qu'irréelles
et irréalisables...
