Je ne la connais pas.
Je ne lui ai pas parler non plus.
Son visage respirait l'Harmonie,
Ce visage si fin qu'il parait infini.
L'unique se cache parfois dans le plus anodin,
Et la beauté dans la plus grande simplicité.
Son visage était le fruit d'un délicieux échange,
Une place ou le tout n'est qu'échange.
Des mèches de ces cheveux, langues de feu incandescentes,
Descendaient caresser la peau blanche éclatante.
Dans laquelle se dresse deux puits de ciel incroyable...
Et puis retourner se morfondre dans le sable......

