Alors la douleur s'empara de moi,
Amer bataille, par un corps meurtri, luttant depuis des mois.
La douleur lançait, au plus profond de mon être,
M'étouffant, à chaque instant, corps traitre...
Percevrais-je, rien qu'un instant, le rouge profond de mon sang coulé,
Est-ce cela, déjà, le goût, dans ma bouche assoiffée,
Le goût amer, comme une orange, comme l'an passé...
Souvenirs, plus douloureux encore que la douleur, souvenir d'une vie éxistée...
Douleur, encore douleur, me tire du sursis du sommeil,
Un rayon de soleil perce à travers les rideaux sombres, soleil,
C'est étrange d'oublier et de sentir si cher
A son cœur, ce que l'on considérait comme acquis, un peu d'air...
Douleur, toujours, chevillée au corps, abandon,
Rage de l'impuissance, face à elle, démission
Mal intérieur, couteau aiguisé au dedans,
Sombre et pervers, remuant...
Et puis la vie m'a laissé un sursis,
Curieux effet que se sentir mort et de retrouver la vie,
Comme une bonne amie que la présence enchante,
Profite, me dis-je, de ce renouveau d'âme vivante....
anneau2fer
Dans la bataille de l'homme et du monde; ce n'est pas le monde qui commence...(Gaston Bachelard)
Mardi 17 mars 2009 à 22:19
Mercredi 25 février 2009 à 21:59
Aimer à la folie sans être aimer, est comparable à vouloir se tuer sans vivre...
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La beauté, on la trouve de partout, mais la ou on la trouve le plus, c'est dans le plus petit... ou le plus grand...
Image prise au microscope électronique à balayage...
Nébuleuse de l'Aigle...
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La Vie, c'est un grands bazar plein de petites choses rangées dedans... ou l'inverse...
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La beauté, on la trouve de partout, mais la ou on la trouve le plus, c'est dans le plus petit... ou le plus grand...
Image prise au microscope électronique à balayage...
Nébuleuse de l'Aigle...
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La Vie, c'est un grands bazar plein de petites choses rangées dedans... ou l'inverse...
Samedi 31 janvier 2009 à 22:21
La Vie est une résonance
Qui trouve écho en toutes choses.
Un fracas de bruit immenses,
De l'univers à la fraiche rose.
La Mort n'est qu'une explosion,
Illuminant le monde instantanément
Cascade infinie, le temps en fractions
Où s'engouffre l'écho irrémédiablement.
Le Néant n'existe pas,
L'homme a toujours représenté le rien,
La vie, la mort, et l'éphémère seront toujours l'éternité.
L'amour toujours remplira,
L'univers réel et irréel, de nos rêves a nos pensées,
Jusqu'a la réalité...
Qui trouve écho en toutes choses.
Un fracas de bruit immenses,
De l'univers à la fraiche rose.
La Mort n'est qu'une explosion,
Illuminant le monde instantanément
Cascade infinie, le temps en fractions
Où s'engouffre l'écho irrémédiablement.
Le Néant n'existe pas,
L'homme a toujours représenté le rien,
La vie, la mort, et l'éphémère seront toujours l'éternité.
L'amour toujours remplira,
L'univers réel et irréel, de nos rêves a nos pensées,
Jusqu'a la réalité...
Jeudi 29 janvier 2009 à 22:01
Comment expliquer
Cette envie d'éternité
Qui naît en moi,
Une éternité avec toi.
Glisser le long de ton visage,
Tomber dans le puit sans fond de ton visage,
Me noyer dans la mer de tes cheveux,
Et sans jamais tourner de pages.
Créer le monde dans le creux de nos mains serrées,
Chevaucher le long des tes jambes parfaites,
Et recréer le monde dans ton ventre adoré,
Sentir ta tête reposer sur mon épaule.
Vivre sur la colline naissante de tes seins.
Te préserver, cadeau inespéré,
Dans mes bras, mes mains.
T'aimer...
Cette envie d'éternité
Qui naît en moi,
Une éternité avec toi.
Glisser le long de ton visage,
Tomber dans le puit sans fond de ton visage,
Me noyer dans la mer de tes cheveux,
Et sans jamais tourner de pages.
Créer le monde dans le creux de nos mains serrées,
Chevaucher le long des tes jambes parfaites,
Et recréer le monde dans ton ventre adoré,
Sentir ta tête reposer sur mon épaule.
Vivre sur la colline naissante de tes seins.
Te préserver, cadeau inespéré,
Dans mes bras, mes mains.
T'aimer...