Quand elle vous regarde de ces yeux bleus,
On croirait se geler les cieux...
Et si l'on pouvait s'arrêter la,
Ce ne serait pas Nina...
Une douceur à en pleurer,
Et une fille qui ne veut que vous embrasser...
Et qui en un baiser,
Vous envoie balader,
dans le ciel étoilé des amoureux,
Là où elle vient chercher le feu,
Qui pleut,
dans ces yeux,
Bleus....
Et oui je l'aime...<3.
anneau2fer
Dans la bataille de l'homme et du monde; ce n'est pas le monde qui commence...(Gaston Bachelard)
anneau2fer
Dans la bataille de l'homme et du monde; ce n'est pas le monde qui commence...(Gaston Bachelard)
Dimanche 15 juin 2008 à 19:20
Jeudi 5 juin 2008 à 19:34
Un éclat dans l'œil,
J'attend sur le seuil,
Dans un coin de sa bouche, un sourire,
Qui ne fait que s'élargir.
Mon esprit bouleversé,
Par cette femme aimée
Un rire s'élève,
Un soleil qui se lève,
Mon cœur bat la chamade,
Bonheur innommable...
Je me réveille en sueur
Dans ce monde qui m'inspire la peur....
J'attend sur le seuil,
Dans un coin de sa bouche, un sourire,
Qui ne fait que s'élargir.
Mon esprit bouleversé,
Par cette femme aimée
Un rire s'élève,
Un soleil qui se lève,
Mon cœur bat la chamade,
Bonheur innommable...
Je me réveille en sueur
Dans ce monde qui m'inspire la peur....
Jeudi 5 juin 2008 à 19:25
MERDE !!!!!
Prends moi...
ou alors tue moi !!!
J'irais mieux comme ça...
Prends moi...
ou alors tue moi !!!
J'irais mieux comme ça...
Jeudi 5 juin 2008 à 19:20
Une nouvelle fille,
Une nouveau monde,
Nouveau rire,
Nouvel esprit,
Nouveau défaut,
Nouvelle vie,
Qu'il faudra découvrir.
Une nouveau monde,
Nouveau rire,
Nouvel esprit,
Nouveau défaut,
Nouvelle vie,
Qu'il faudra découvrir.
Jeudi 5 juin 2008 à 19:15
N'allez pas croire que je pleure,
Je ne fait que réfléchir,
A quand ce pourrait être l'heure,
Où je ne pourrais pas me retenir...
je l'aime
_____
ca c'est pour la mélancolie...
Je ne fait que réfléchir,
A quand ce pourrait être l'heure,
Où je ne pourrais pas me retenir...
je l'aime
_____
ca c'est pour la mélancolie...
Jeudi 5 juin 2008 à 19:12
Il y a une chose que j'ai compris,
Je ne tient pas l'alcool,
Il me plonge dans un profond état de mélancolie...
_________________________
En souvenir de cette mémorable soirée d'hier soir !!!
(vive Clémence qui c'est bu la moitie de la Manzana a elle toute seule !!!)
Je ne tient pas l'alcool,
Il me plonge dans un profond état de mélancolie...
_________________________
En souvenir de cette mémorable soirée d'hier soir !!!
(vive Clémence qui c'est bu la moitie de la Manzana a elle toute seule !!!)
Mardi 3 juin 2008 à 21:45
J'ai envie d'embrasser une fille jusqu'à ce que
Je n'ai plus la force de bouger les lèvres.
J'ai envie de voler dans la liberté
Comme un oiseau au vent.
J'ai envie d'avoir une oreille
A qui dire tous ces poèmes...
Je n'ai plus la force de bouger les lèvres.
J'ai envie de voler dans la liberté
Comme un oiseau au vent.
J'ai envie d'avoir une oreille
A qui dire tous ces poèmes...
Jeudi 29 mai 2008 à 21:38
C'est un secret bien gardé,
Et pour l'instant, pour lui, je peux me tuer,
Mais avant le pire,
je voudrais le dire,
Le dire non ! Le crier sur les toits,
Crier ce que je pense finalement de toi,
Que je t'aime...
Et pour l'instant, pour lui, je peux me tuer,
Mais avant le pire,
je voudrais le dire,
Le dire non ! Le crier sur les toits,
Crier ce que je pense finalement de toi,
Que je t'aime...
Jeudi 29 mai 2008 à 11:38
Amis ! demandons a voir,
Arrêtons de regarder le noir,
Comme une flamme qui explose,
Un amoureux qui ose,
Feu d'artifice séculaire,
Électricité dans l'air.
Rouge flamme de la révolution,
Avec panache fait son apparition,
Jeunesse éclectique,
Transmettant la peste endémique,
L'avenir existe,
Le jeune aussi existe,
Lui aussi a ce droit,
Comme celui d'être soi,
Et de ne pas être soumis
A ces satanées bureaucraties,
Une envie de liberté,
Que l'on ne peut qu'envier,
Le feu de poudre traverse le pays,
Société pourrie découpée à la scie.
Discussion interminable,
Sur les vieux périssable,
Sur le cotes, plus personne n'est sage,
Et sous les pavés le plage,
Pourtant ils résistent
Soyons réalistes
Demandons l'impossible
A leur folie inadmissible.
Eux n'ont pas compris,
Le sens de l'écologie,
Et continuaient à détruire la planète,
Et eux font la fête.
L'argent pour eux il n'y a que ça,
Les valeurs humaines, ils ne connaissent pas,
Il faut croire qu'il sont inaptes,
A devenir une âme empathique,
Ventre rond plein d'argent,
Leur cœur, ils vivent sans.
Étendard rougeoyant,
S'élevant au levant,
Contre les préjugés,
Et les inimitiés.
Tout cela pour dire
Que l'on veut un avenir
Ni matérialiste ni raciste,
Sûrement idéaliste,
Vivre en amour,
Peut être un jour,
Peut être toujours...
Arrêtons de regarder le noir,
Comme une flamme qui explose,
Un amoureux qui ose,
Feu d'artifice séculaire,
Électricité dans l'air.
Rouge flamme de la révolution,
Avec panache fait son apparition,
Jeunesse éclectique,
Transmettant la peste endémique,
L'avenir existe,
Le jeune aussi existe,
Lui aussi a ce droit,
Comme celui d'être soi,
Et de ne pas être soumis
A ces satanées bureaucraties,
Une envie de liberté,
Que l'on ne peut qu'envier,
Le feu de poudre traverse le pays,
Société pourrie découpée à la scie.
Discussion interminable,
Sur les vieux périssable,
Sur le cotes, plus personne n'est sage,
Et sous les pavés le plage,
Pourtant ils résistent
Soyons réalistes
Demandons l'impossible
A leur folie inadmissible.
Eux n'ont pas compris,
Le sens de l'écologie,
Et continuaient à détruire la planète,
Et eux font la fête.
L'argent pour eux il n'y a que ça,
Les valeurs humaines, ils ne connaissent pas,
Il faut croire qu'il sont inaptes,
A devenir une âme empathique,
Ventre rond plein d'argent,
Leur cœur, ils vivent sans.
Étendard rougeoyant,
S'élevant au levant,
Contre les préjugés,
Et les inimitiés.
Tout cela pour dire
Que l'on veut un avenir
Ni matérialiste ni raciste,
Sûrement idéaliste,
Vivre en amour,
Peut être un jour,
Peut être toujours...
Samedi 24 mai 2008 à 21:18
Franchement, si il n'y avait qu'un film a voir, ce serait celui la. ( enfin c'est mon avis)
Des scènes magnifiques,une très belle musique, une histoire inoubliable... et une tristesse a vous en faire pleurer (et oui Raph t'avais raison... ), surtout la fin...
________________________________________
Donner sans recevoir,
Nature, il n'y a que toi pour le faire...
Jeudi 22 mai 2008 à 18:29
Une odeur incroyable,
Qui semble revenir de si loin.
Une fragrance inimitable.
Un parfum qui va et revient...
Une illusion sensorielle,
Sous un magnifique soleit d'été.
Comme une arrivée de nouvelles,
Un rappel d'amour qui a été...
N'ai crainte, je ne t'oublierais pas,
Même si des yeux doré ont pris mon cœur,
Il y auras toujours une place pour cette senteur,
Même si je ne t'aime pas...
Qui semble revenir de si loin.
Une fragrance inimitable.
Un parfum qui va et revient...
Une illusion sensorielle,
Sous un magnifique soleit d'été.
Comme une arrivée de nouvelles,
Un rappel d'amour qui a été...
N'ai crainte, je ne t'oublierais pas,
Même si des yeux doré ont pris mon cœur,
Il y auras toujours une place pour cette senteur,
Même si je ne t'aime pas...
Mercredi 14 mai 2008 à 16:57
Ce serait une soif,
Une que la mer ne pourrais épancher,
Un océan invisible le pourrais,
S'étendant beaucoup plus loin dans l'esprit,
Je ne sait d'où vient ce puis,
Ni ce que je recherche,
Je sais juste que cela me manque.
Une bougie sans flamme,
Ou un soleil sans rayon,
Ou encore un baiser sans Amour ....
Une que la mer ne pourrais épancher,
Un océan invisible le pourrais,
S'étendant beaucoup plus loin dans l'esprit,
Je ne sait d'où vient ce puis,
Ni ce que je recherche,
Je sais juste que cela me manque.
Une bougie sans flamme,
Ou un soleil sans rayon,
Ou encore un baiser sans Amour ....
Mercredi 14 mai 2008 à 16:51
C'est le regard tourné vers l'horizon,
Les montagnes blanches, passées et à venir,
Bonnes, mauvaises ou bien pire,
Ce sont eux qui traduisent leurs unique sons.
Ils se représentent l'avenir,
Mais peu sauront le prédire,
Ils auront fais rêver quelques-uns,
Et ces rêves seront sien.
Ils ont été a la base des révolutions,
par leurs esprits visionnaires,
Ecrivain, Poète, souvient toi de tes visions,
Et donne nous ce que les montagnes blanches ont à plaire...
Les montagnes blanches, passées et à venir,
Bonnes, mauvaises ou bien pire,
Ce sont eux qui traduisent leurs unique sons.
Ils se représentent l'avenir,
Mais peu sauront le prédire,
Ils auront fais rêver quelques-uns,
Et ces rêves seront sien.
Ils ont été a la base des révolutions,
par leurs esprits visionnaires,
Ecrivain, Poète, souvient toi de tes visions,
Et donne nous ce que les montagnes blanches ont à plaire...
Mercredi 14 mai 2008 à 16:43
Le jour ou nous aurons les yeux dans la bouche,
Je pourrais véritablement te dévorer des yeux...
Je pourrais véritablement te dévorer des yeux...
Mardi 13 mai 2008 à 20:44
Une glace, indestructible
Qui vous consume, insensible
C'est une envie, insatiable
Qui vous dévore la poitrine, insupportable
Qui vous fait vivre, infatigable
Qui vous pousse, indomptable
A vous aimer, inavouable
Jusqu'à la mort, inoubliable
...
Qui vous consume, insensible
C'est une envie, insatiable
Qui vous dévore la poitrine, insupportable
Qui vous fait vivre, infatigable
Qui vous pousse, indomptable
A vous aimer, inavouable
Jusqu'à la mort, inoubliable
...
Mardi 13 mai 2008 à 20:35
Rêver d'aimer
Aimer vivre
Vivre libre
Libre de rêver...
Dans l'enfance on aime rêver,
Dans l'adolescence on rêve d'aimer...
(ça c'est pas de moi mais je trouve ça beau...)
Aimer vivre
Vivre libre
Libre de rêver...
Dans l'enfance on aime rêver,
Dans l'adolescence on rêve d'aimer...
(ça c'est pas de moi mais je trouve ça beau...)
Lundi 12 mai 2008 à 20:33
Je pourrais la saisir,
Je pourrais le dire,
mais si je n'y croit pas...
Et j'ai encore le choix.
Je pourrais la saisir,
Lui dire que je l'aime,
mais se serait mentir,
Et cela je ne le ferais jamais.
Je pourrais la saisir,
Sa peau contre la mienne,
Un doigt se tend puis s'écarte,
Une main avance puis recule.
Douce caresse invisible,
Joie secrète éphémère,
Du bout des doigts.
Je ne l'ai pas saisie,
Il n'est plus temps,
Mais je ne regrette pas,
Elle n'est pas pour moi ...
Je pourrais le dire,
mais si je n'y croit pas...
Et j'ai encore le choix.
Je pourrais la saisir,
Lui dire que je l'aime,
mais se serait mentir,
Et cela je ne le ferais jamais.
Je pourrais la saisir,
Sa peau contre la mienne,
Un doigt se tend puis s'écarte,
Une main avance puis recule.
Douce caresse invisible,
Joie secrète éphémère,
Du bout des doigts.
Je ne l'ai pas saisie,
Il n'est plus temps,
Mais je ne regrette pas,
Elle n'est pas pour moi ...
Dimanche 20 avril 2008 à 16:47
Lorsque j'ai écrit cela,
Je ne savais pas...
Je ne sais plus,
Ou plutôt je n'ai jamais su.
Fleur éphémère,
Je ne sais que faire,
La certitude d'aujourd'hui
Ne sera demain que pluie,
Pour les uns royale,
Pour les autres si sale.
Pouvoir te connaitre
A fait renaître
En moi la flamme agonisante,
En une étoile resplendissante.
Glace flamboyante,
Puisse tu être importante,
Et sans geler mon cœur,
L'enfermer à l'intérieur
L'amour marche à si grands pas
Qu'a l'arrêter personne n'y arrivera.
Lorsque je te regardais,
Avant je me disais
Je n'ai aucune chance
Et attendais que ce souvenir s'épanche.
Maintenant je me dit
Pourquoi ce serait lui...
Et pas moi ...
Je ne savais pas...
Je ne sais plus,
Ou plutôt je n'ai jamais su.
Fleur éphémère,
Je ne sais que faire,
La certitude d'aujourd'hui
Ne sera demain que pluie,
Pour les uns royale,
Pour les autres si sale.
Pouvoir te connaitre
A fait renaître
En moi la flamme agonisante,
En une étoile resplendissante.
Glace flamboyante,
Puisse tu être importante,
Et sans geler mon cœur,
L'enfermer à l'intérieur
L'amour marche à si grands pas
Qu'a l'arrêter personne n'y arrivera.
Lorsque je te regardais,
Avant je me disais
Je n'ai aucune chance
Et attendais que ce souvenir s'épanche.
Maintenant je me dit
Pourquoi ce serait lui...
Et pas moi ...
Mercredi 12 mars 2008 à 21:36
L'abeille bourdonne
Tandis que les cloches sonnent,
Des oiseaux volent volent,chantent,
Les fleurs sentent...
De même que le lion rugit,
Alors que sa proie bondit.
Qu'avons nous à dire de tout cela ?
De quelle loi, de quel droit
Pouvons nous faire disparaitre cela.
Il est temps d'arrêter
Et de réparer.
De réintroduire
Et de rebâtir.
L'homme peut vivre différemment
Que de vivre au dépend
De ce qui nous a créer....
Tandis que les cloches sonnent,
Des oiseaux volent volent,chantent,
Les fleurs sentent...
De même que le lion rugit,
Alors que sa proie bondit.
Qu'avons nous à dire de tout cela ?
De quelle loi, de quel droit
Pouvons nous faire disparaitre cela.
Il est temps d'arrêter
Et de réparer.
De réintroduire
Et de rebâtir.
L'homme peut vivre différemment
Que de vivre au dépend
De ce qui nous a créer....
Mercredi 12 mars 2008 à 21:08
La pluie de la nuit
S'abat sur ma tristesse,
Cœur noir de suie.
Je comprends alors que je ne peux qu'aimer sans cesse.
Les autres ne comprennent pas,
Et cela les effraya.
L'on ne peux vivre que dans l'amour
L'inverse voudrait la mort pour toujours
Dans les hautes herbes de mes pensées,
Il me fallait arrêter de pleurer,
Tandis que la pluie lavait la nuit,
La lune arrive et mon esprit luit.
S'abat sur ma tristesse,
Cœur noir de suie.
Je comprends alors que je ne peux qu'aimer sans cesse.
Les autres ne comprennent pas,
Et cela les effraya.
L'on ne peux vivre que dans l'amour
L'inverse voudrait la mort pour toujours
Dans les hautes herbes de mes pensées,
Il me fallait arrêter de pleurer,
Tandis que la pluie lavait la nuit,
La lune arrive et mon esprit luit.
